J’ai changĂ© de vie professionnelle grĂące Ă  un outplacement et ça n’a pas de prix !

outplacement transition professionnelle

Grande dĂ©mission, Quiet Quitting, Burn ou bore out. Ces Ă©lĂ©ments envahissent nos discussions professionnelles et nos entreprises. Ces Ă©lĂ©ments me replongent dans une rĂ©alitĂ© que j’ai connue dans ma prĂ©cĂ©dente expĂ©rience. Moi aussi, j’ai remis en cause mon quotidien, le sens et l’utilitĂ© de ma mission professionnelle… Et j’ai vĂ©cu un outplacement !

Un bouleversement et une transformation professionnelle, voici comment je m’en suis sorti


D’une carriĂšre linĂ©aire vers un outplacement

J’ai suivi des Ă©tudes gĂ©nĂ©ralistes financiĂšres et de gestion puis une Ă©cole de commerce. Un jour j’ai reçu un appel d’une grande enseigne de distribution spĂ©cialisĂ©e qui peinait Ă  recruter des collaborateurs pour des postes de responsables de rayon. Ses rĂ©sultats en berne et la mauvaise image du secteur l’ont en effet amenĂ© Ă  prendre directement contact avec des Ă©tudiants d’écoles de commerce. Curieux et n’ayant rien Ă  perdre je suis allĂ© passer les entretiens et ai Ă©tĂ© retenu. 

Me voilĂ  donc « chef de rayon » Ă  tout juste 21 ans. Je dĂ©couvre une entreprise aux belles valeurs humaines, j’apprends le management, Ă  gĂ©rer un point de vente
 et on me laisse la possibilitĂ© de faire les choses, avec mon cƓur, en Ă©tant moi-mĂȘme et mieux encore on me forme en permanence autant sur des sujets techniques que de dĂ©veloppement personnel. 

20 ans d’évolution professionnelle 
 avec la dĂ©couverte de mon moteur intrinsĂšque

Mon quotidien consistait Ă  transmettre cette belle Ă©nergie positive Ă  mes Ă©quipes. Elles me l’ont bien rendu et j’ai commencĂ© mon Ă©volution professionnelle d’abord en magasin puis au siĂšge : Responsable de rayon, Responsable RH, Directeur de magasin, Directeur merchandising et Directeur de l’un des pĂŽles marketing de l’enseigne. Je passe 20 ans dans cette entreprise. 

“Crise de la quarantaine”, un moment de rĂ©flexion dĂ©cisif.

Je ne me pose pas de question et j’avance, je prends les opportunitĂ©s au fur et Ă  mesure qu’elles se prĂ©sentent
 jusqu’à ce que la « crise de la quarantaine » me rattrape et m’amĂšne Ă  rĂ©flĂ©chir Ă  mes besoins et aspirations. 

Je vis aussi de nombreux changements personnels Ă  cette pĂ©riode. Ces changements m’invitent Ă  reconsidĂ©rer ma rĂ©partition pro / perso. J’ai envie de moins de dĂ©placements, de sortir de cette succession d’annĂ©es d’opĂ©rations commerciales, de plan de communications, de dĂ©veloppements de concepts, d’enchaĂźnements de collections
 Je suis moins acteur, moins moteur et dĂ©veloppe les prĂ©mices d’une lassitude. 

“Une chose devient par contre de plus en plus prĂ©sente dans mon esprit : mon envie de continuer Ă  accompagner les Femmes et Hommes et de les faire grandir ! Je commence donc Ă  me dire que les Ressources Humaines m‘attirent vraiment !” 

Un outplacement surprise, mes valeurs du travail bouleversées !

Je dĂ©cide donc de prendre mon courage Ă  deux mains et d’aborder ce sujet avec mon nouveau manager.
Il Ă©tait trĂšs diffĂ©rent de moi, nous n’avions pas le mĂȘme fonctionnement, ni les mĂȘmes moteurs.

Sa rĂ©ponse fut sans appel : « tu es fait pour les ressources humaines mais cela ne sera pas chez nous. Je souhaite mettre un terme Ă  notre collaboration
 Mais ne t’inquiĂštes pas, nous allons soigner ton dĂ©part !».  

« Ne pas m’inquiĂ©ter ? Je n’ai plus de travail ! ». En 2 minutes ma vie bascule.

Pour les quarantenaires comme moi, la « valeur travail » a Ă©tĂ© distillĂ©e depuis mon enfance par mes parents, grands-parents. Se retrouver sans travail est un drame, une claque. Tout se mĂ©lange dans ma tĂȘte : « Comment je peux me faire virer en 2 minutes aprĂšs 20 annĂ©es de bons et loyaux services » ? « Je savais que j’étais sur un siĂšge Ă©jectable », « Ai-je fait quelque chose de mal ? ». ColĂšre, peur, tristesse, dĂ©couragement se mĂ©langent dans mon esprit. Et l’estime de moi s’écroule. 

“Deux voies s’offrent Ă  moi : me battre contre eux ou transformer ce pĂ©pin en pĂ©pite. C’est cette seconde voie que je prends.”

Je reste ferme sur les conditions de mon dĂ©part et accepte de signer une rupture conventionnelle et d’en profiter pour tenter un virage professionnel.

Cette entreprise soigne les collaborateurs de l’entrĂ©e Ă  la sortie. Ils incluent dans leurs packages de dĂ©part un accompagnement en outplacement et refusent d’en reverser la contrepartie financiĂšre si le salariĂ© le demande car ils savent Ă  quel point cette prise en charge est nĂ©cessaire.

Cet outplacement changera ma vie.

LE choix du cabinet, une décision décisive !

Me voilĂ  donc reparti Ă  zĂ©ro, confrontĂ© pour la premiĂšre fois Ă  devoir trouver un boulot. Sur les indications de mes anciens employeurs je commence par rencontrer diffĂ©rents cabinets d’outplacement. Le premier trop scolaire, le second trop rĂȘveur, le troisiĂšme me permet de m’exprimer tel que je suis, avec mes singularitĂ©s et m’encourage Ă  rĂ©flĂ©chir Ă  mes envies. Je retrouve aussi cet optimisme qui me caractĂ©rise tant.  

Aucun doute, c’est celui-ci qu’il me faut ! Et c’est avec cette coach, Pascaline (co-dirigeant de Quintesens) , que je veux rĂ©flĂ©chir et travailler. Pascaline m’accueille et me rassure. Elle me fait rencontrer d’autres accompagnĂ©s dans la mĂȘme situation que la mienne
 « Ouf » je ne suis plus seul face Ă  ce vide ! 

Elle me fait prĂ©parer des « modules » me permettant de faire le point sur mes qualitĂ©s, mes compĂ©tences, mes envies
 J’avais oubliĂ© certaines d’entre-elles. Elle me fait exprimer mes moteurs, mes valeurs, mon environnement et mon job de rĂȘve. Grace Ă  elle j’ouvre des portes et j’en referme.  

 Pascaline m’apprend à parler de moi, Ă  rencontrer des professionnels pour valider que l’image que je me fais d’un mĂ©tier corresponde bien Ă  la rĂ©alitĂ©. Elle m’apprend Ă  travailler mon rĂ©seau. 

Un outlplacement sous le signe de la co-construction de son projet professionnel

Mon projet commence Ă  s’affiner, c’est le dĂ©veloppement humain qui m’intĂ©resse. Pascaline m’aide Ă  m’équiper : CV, courrier, pitch
 je sais de mieux en mieux parler de moi, de mes envies. Je fais des liens entre ce que j’ai fait et ce que j’ai envie de faire. Je rencontre, encore et encore
 

Je suis surpris de voir l’intĂ©rĂȘt que ces rendez-vous « rĂ©seau » reprĂ©sentent. Les retours que me font les professionnels sont positifs, et certains d’entre eux se transforment en process de recrutement.  

Je retrouve confiance et j’avance dans les processus de recrutement. 

AprĂšs avoir Ă©changĂ© avec « ma moitié » suite Ă  ces entretiens, Pascaline est la seconde personne que j’appelle, pour dĂ©briefer, pour relancer, pour avoir des conseils. C’est une oreille attentive. A la fois stimulante et rassurante, toujours en accompagnement et jamais dans le jugement. 

Un jour Pascaline me dit : « ton chemin est fait, tu sais le poste que tu veux (le mĂȘme que le sien !) et il est fait pour toi ! Si le cƓur t’en dit, j’aimerais aussi te proposer un processus de recrutement chez nous ».  

“J’avais choisi le cabinet comme client pour ses valeurs qui Ă©taient miennes. Il ne faisait aucun doute que j’avais envie de le rejoindre comme collaborateur. Commence alors un processus de recrutement classique, sans Pascaline qui ne pouvait ĂȘtre juge et partie ! Et l’histoire se termine comme un conte de fĂ©es : nous nous sommes tellement plus que nous nous sommes gardĂ©s !” 

Je suis aujourd’hui collaborateur de ce cabinet depuis 5 ans, Ă  mon tour j’accompagne des personnes dans leur mobilitĂ© professionnelle et leur dĂ©veloppement managĂ©rial. J’ai trouvĂ© ma place et ça n’a pas de prix. 

Pascaline, je te l’ai souvent dit mais cette fois je te l’écrit : « Merci, je n’en serais pas lĂ  sans toi ! ». 

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Respecter la singularité de chacun
Respecter la singularitĂ© de chacun : ‹une richesse pour l’entreprise

Recherchons-nous des clones ou des talents ? Une Ă©quipe homogĂšne est-elle vraiment une Ă©quipe performante ? Ne risque-t-elle pas, au contraire, de tourner en rond, de manquer d’idĂ©es nouvelles, d’éprouver de la difficultĂ© Ă  se rĂ©inventer ? Ces questions posent un enjeu central du recrutement et du management : celui de la singularitĂ©.

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