Passer le cap des 50 ans dans le monde du travail nâest pas un frein Ă la rĂ©ussite professionnelle, bien au contraire ! Si cette
Et si justement, douter, était un outil nécessaire au déploiement de sa puissance managériale�
Dans la confidentialitĂ© dâun coaching, on se confie volontiers sur ses doutesâŻbien que le mot «âŻdouteâŻÂ» ne soit pas toujours utilisĂ©. Mais en plein jour, peu de managers ou dirigeants osent exprimer leur doute Ă voix haute. Et pourtant, on nâattend pas de ces femmes et de ces hommes dâĂȘtre des super hĂ©ros ni dâavoir rĂ©ponse Ă tout. Leur rĂŽle est de donner du sens, guider, inspirer, responsabiliser, cadrer parfois, mais certainement pas de tout dĂ©cider unilatĂ©ralement. Â
Douter des autres est facileâŻ; douter de soi un sujet bien plus dĂ©licat.
Comme si douter Ă©tait une tare, un dĂ©faut ou, pire encore, un manque de leadershipâŻ! Le vocabulaire que nous utilisons reflĂšte souvent notre biais, conscient ou inconscient, qui nous incite Ă minimiser notre doute. Dâailleurs les recherches de «âŻdouteâŻÂ» sur Google nous orientent vite sur des âtrucs et astucesâ pour ne pas ressentir le doute et se montrer fort et confiant Ă toute Ă©preuve.Â
Pourtant, tout apprentissage et tout dĂ©veloppement se fait en passant par de lâinconfort.
Cette vĂ©ritĂ© fondamentale est vraie aussi pour le management. Le doute est lâinconfort nĂ©cessaire pour nous faire avancer et grandir en tant que personne et manager. Donc ici pas de remĂšdes CONTRE le doute, mais plutĂŽt une mĂ©thode pour apprendre Ă sâen servir comme dâune force. Â